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Vous avez identifié que l’un de vos parents (ou les deux) est toxique. Les stratégies de protection que vous avez mises en place semblent vous convenir (évitement, défense, rupture…).

Il n’empêche, en vous résonne toujours cette petite voix qui vous dit : « mais quand même… c’est mon père/ma mère » ou « il ne lui reste plus si longtemps à vivre… » ou « elle est tellement seule… » ou « je voudrais faire la paix mais… ».

Bref vous n’êtes pas complètement au clair, c’est à la fois confus et inconfortable.

Vous voudriez clarifier et prendre les bonnes décisions. Pour améliorer la relation avec votre parent toxique (par une communication plus adaptée par exemple).

Ou pour vous sentir mieux avec la situation actuelle.

Ou pour trouver enfin le courage de couper les ponts.

Comment faire pour se libérer rapidement d’un parent toxique ?

L’amour inconditionnel doit aller du parent à l ‘enfant, et pas l’inverse !

Peut-on se libérer d’un parent toxique ?

Au sens biologique, vous serez toujours l’enfant de vos parents, c’est une réalité à accepter. Physiologiquement, c’est au moment où le cordon ombilical a été coupé que vous vous êtes détaché.e de votre mère.

● Puis pendant toute votre enfance et votre adolescence, les liens avec vos parents se sont construits et élargis. Vous avez une histoire commune. Aujourd’hui que vous êtes adulte, vous avez de bons ou de mauvais souvenirs de cette histoire.

● Faisons démarrer la période « adulte » à votre départ de la maison familiale. Cette nouvelle tranche de vie vous a, le plus souvent, éloigné.e d’eux, au moins physiquement. C’est à partir de cette période que vous pouvez évaluer la qualité de votre relation avec eux. Pourquoi ?

Déjà parce que vous ne dépendez plus d’eux matériellement. Financièrement (la plupart du temps) vous ne leur devez plus rien. Ils n’ont donc plus de pouvoir économique sur vous. Ils ne peuvent plus vous faire de chantage à l’argent. Vous ne leur devez « monétairement » plus rien. Dans le cas contraire – par exemple si vous leur devez quelque chose (de l’argent, l’occupation d’un logement, des facilités matérielles…) – il sera nécessaire de clarifier cette dette de manière qu’elle ne soit pas utilisée comme moyen de pression, c’est très important pour se sentir réellement libre.

Pourtant vous continuez à vous sentir « redevable »… effectivement vous l’êtes ! De quoi exactement ?

Commençons par examiner le « mal » dont vous souffrez.

Toxique, le toxicon, un poison

Toxique, vous avez dit « toxique » ?!… Comme les poisons qu’on trouve – et qu’on dénonce – dans l’industrie chimique, par exemple ?

Effectivement, ce mot, réservé jusqu’à ces dernières décennies au champ industriel, s’est imposé en psychologie pour décrire un malaise, un mal-être relationnel.

Les mots n’arrivent pas par hasard. S’ils s’enracinent dans le lexique, c’est qu’ils évoquent une réalité vécue par bon nombre de personnes.

Qu’est-ce qui relie un produit toxique, un comportement toxique, une personne toxique ?

Le poison !

En ce 21e siècle, l’influence des réseaux sociaux a rendu viral ce mot pour décrire des phénomènes qui ont beaucoup à voir avec l’emprise.

Une philosophe et psychanalyste s’est penchée sur l’étymologie de ce mot.

Vu sous un angle plus « ludique »

Les origines du mot « toxique »

Dans la Grèce antique, le toxicon était le poison dont on imprégnait les flèches destinées à ses ennemis. Ils ne mouraient pas immédiatement, mais la substance se répandait rapidement dans le corps jusqu’à le faire mourir.

Au moment où elle recevait la flèche, la victime n’avait pas conscience qu’elle était empoisonnée. Comme celles et ceux qui vivent sous emprise.

Les caractéristiques d’un toxique

● Voici une première similitude entre le toxique chimique et le toxique psychologique : on ne découvre ce phénomène qu’après coup, ses conséquences sont différées dans le temps.

● Autre similitude : les conséquences corporelles. Le malaise ressenti en présence de certaines personnes se traduit par des attitudes corporelles de retrait, de recul, de difficultés à respirer ou à s’exprimer, voire par des stigmates plus flagrants (rougeurs, réactions cutanées, maux de ventre ou céphalées, etc.).

● Enfin, ce poison est générateur d’angoisse car dans la période non consciente de cette expérience, nous ressentons un malaise indéfinissable, voire une souffrance dont l’origine est méconnue. Et dans la seconde période – celle où nous l’avons identifié – la conscience de son mode de toxicité est également source d’angoisse : comment s’en débarrasser ?

● Le poison, dans son apparentement à une drogue, délivre aussi une certaine jouissance. Comme l’alcool ou d’autres substances, il peut être addictif et procurer un apaisement dans un premier temps.

● Incorporé en nous, il fait partie de notre corps et notre cerveau l’a identifié comme essentiel à notre survie. Et plus sa longévité en nous est grande, plus il nous constitue…

Voici donc les premières raisons pour lesquelles il est si difficile de s’en libérer. Mais il y en a d’autres…

Pourquoi il est si difficile de se libérer d‘un parent toxique

De la difficulté de s’extraire d’une loyauté familiale

● Nous aurons toujours une dette « éternelle » envers nos parents : ils nous ont donné la vie. J’entends déjà quelques rugissements : « Mais on n’a rien demandé… », « Moi je n’ai pas choisi de naître dans cette famille… ».

Pourtant, selon certaines théories spirituelles de réincarnation, au contraire, notre « âme » aurait justement choisi ces parents-là pour nous incarner dans ce monde. Pourquoi ? Pour accomplir un travail d’harmonisation qui n’a pu être réalisé soit dans des vies antérieures soit par nos aïeux (domaine de la psycho-généalogie).

● Que l’on adhère (ou pas) à cette théorie, la réalité est celle-ci : ce sont vos parents ; ils vous ont donné une partie des éléments de construction de votre personnalité. Vous ne pourrez rien y changer, sauf votre regard sur vous, sur eux et sur votre relation.

La dette inconsciente

● Le lien qui vous unit et dont vous avez du mal à vous extraire est cette dette invisible du don de la vie. C’est la raison pour laquelle il est si difficile de cesser toute relation à nos parents. Comme ils ont pris soin de nous les premières années de notre vie, nous nous sentons redevables pour leurs dernières années de vie.

● Le parent toxique a tendance à activer cette dette, avec des phrases comme « Avec tout ce que j’ai fait pour toi… », « Moi qui me suis sacrifié.e pour vous élever… », « N’oublie pas que je suis ton père/ta mère »… parce qu’il sent bien que quelque chose lui échappe, qu’il voudrait contrôler : l’amour inconditionnel qu’il voudrait ressentir de votre part.

Le poids des dettes inconscientes

La théorie de l’attachement

● Ce qu’il oublie – ou plus probablement ce qu’il ignore (surtout s’il appartient à la génération des octogénaires) – c’est que l’amour inconditionnel n’est pas dans le sens enfant-parent mais à l’inverse : il est naturel que ce soit le parent qui aime son enfant de manière inconditionnelle. La théorie de l’attachement l’a mis en lumière.

En savoir encore plus sur la théorie de l’attachement :

https://www.franceculture.fr/conferences/universite-de-nantes/theorie-de-lattachement-securite-affective-et-bien-etre-des-eenfants

Il est donc naturel que nous ayons du mal à nous libérer d’un parent toxique sans nous sentir coupable. La loyauté filiale est une reconnaissance du lien et de cette dette.

Il paraît donc également naturel que nous ne soyons pas dans la gratitude éternelle face à un parent toxique. Dont nous avons ressenti et continuons à ressentir le manque d’amour inconditionnel.

A vous de choisir : continuer à payer cette dette inconsciente ? Ou vous sentir mieux ?

Se libérer de parents toxiques : de la prise de conscience à l’action…

La relation à votre parent est toxique, vous en êtes conscient.e.

● Vous avez essayé plein de méthodes : l’éloignement géographique, une communication plus distante (moins d’appels, moins de visites, des échanges réduits au strict nécessaire, etc.), la méditation, le yoga, des thérapies…

● Bravo : vous êtes parvenu.e à vous détacher (un peu). Vous savez activer des protections (lors des reproches, des silences pesants, des plaintes…). Pourtant « ça » continue à vous tourmenter, surtout si vous continuez à vous sentir maltraité.e.

Vos émotions sont un signal : angoisse, peur, tristesse, colère (rage parfois), sentiment de culpabilité… votre corps souffre, il dit le mal (la mal-a-die). En même temps, c’est ce mal-dit qui constitue la première étape vers la guérison.

La roue des émotions : que ressentez-vous ?
La roue des émotions : que ressentez-vous ?

● Manque de confiance en soi, d’estime de soi, d’assertivité sont vos faiblesses. Normal : seul un attachement sécure peut vous doter de ces qualités. Rassurez-vous : s’il ne vous a pas été donné par vos parents, d’autres personnes peuvent vous aider à l’acquérir et/ou à le développer (un.e partenaire amoureux, un.e psy, un.e coach par exemple).

Réussir à se libérer d’un parent toxique : où en êtes-vous ?

> Cochez votre réponse

Où en êtes-vous ?                                                                          OuiNon
1 – La relation à votre parent est toxique : vous en êtes conscient  
2 – Les signes qui le prouvent sont identifiés, voire répertoriés (une liste est possible)  
3 – Vous voulez vivre mieux cette relation  
4 – Vos besoins pour y parvenir sont identifiés (faites une liste en commençant par votre premier besoin) *  
5 – Quel est votre besoin prioritaire ? Ce qui vous agace le plus chez votre parent toxique correspond à un besoin non satisfait chez vous. Comment comptez-vous faire respecter ce besoin non satisfait ?  
6 – Technique des petits pas : vous fixez une date de début du changement  
7 – La communication : vous informez votre entourage (vos alliés) de votre décision de changement (à la fois pour qu’ils vous aident à tenir et à titre d’« engagement »)  
8 – Vous vous félicitez à chaque étape franchie, à chaque réussite (c’est très important pour ancrer vos ressentis positifs)  
9 – Observez le changement en vous et dans votre environnement (y compris sur les attitudes du parent toxique)  
10 – Vous avez besoin d’un.e professionnel.le pour vous accompagner tout le long de votre parcours : prendre la décision qui vous convient, communiquer correctement, tenir dans le temps en évitant les chausse-trappes, canaliser vos émotions, renforcer estime de soi et confiance en soi  
Faites le test : si vous avez 5 réponses OUI sur 10, vous êtes prêt.e à passer à l’action ! GO !
Après ces mots sur les maux, quelles solutions ?

* Dites-vous par exemple :

– pour faire cesser les reproches, j’aurais besoin de… plus d’assertivité (par exemple) ;

– pour qu’ils cessent de m’asséner indéfiniment leur vision négative du monde, j’aurais besoin de… plus d’humour (par exemple), etc.

Le besoin est toujours personnel et doit pouvoir être comblé par vous seul : personne d’autre que vous ne doit entrer en jeu. C’est vous qui êtes responsable de votre ressenti et du comportement adapté.

Gagner la confiance en soi en se libérant de parents toxiques
Gagner la confiance en soi en se libérant de parents toxiques

Couper les ponts pour se libérer de parents toxiques ?

● Vous avez « tout essayé », vous n’en pouvez décidément plus.

Pour votre estime de vous, pour votre sérénité, pour vous sentir LIBRE, c’est décidé : vous coupez les ponts. Vous les « bloquez », pour vous et pour toute la famille…

● Par expérience, ceux qui l’ont fait ressentent d’abord un SOULAGEMENT. Ils ne se posent plus de questions : quand les appeler ? quand leur rendre visite ? et que vont-ils encore faire ? dire ? Et à Noël ? Etc.

● Ça n’est pourtant pas si facile à faire…

Comment couper les ponts SEREINEMENT

● On ne rompt pas avec ses parents comme avec un.e amoureux.se – déjà que ce n’est pas facile ! 😘. Il y a une période de préparation progressive.

● Quand c’est décidé, il est conseillé de se faire accompagner (par les amis, la famille soutenante, un psy, un.e coach…) en expliquant précisément à ces personnes soutenantes ce que l’on attend d’elles. Pour ne pas craquer, ne pas rester seul.e. Car il y aura des phases de grands +++ et d’autres moins réjouissantes, il faut le savoir.

Oser un changement, c’est faire preuve de courage, parce qu’il y a une prise de risques… 🧐🤪

Parce que même quand on en est le décideur, tout changement fait sortir de sa zone de confort

Sortir de sa Zone de confort pour se libérer d’un parent toxique

Ça peut paraître paradoxal mais la zone de confort c’est là où nous en sommes avec notre problématique, là où nous souffrons. C’est comment nous fonctionnons depuis toujours, ce qui a créé nos croyances, celles qui nous freinent, voire qui nous empêchent d’avancer. 🙈🙉🙊

🚩 On l’appelle Zone de confort parce que c’est elle qui a créé nos protections :

– puisque je suis habitué.e à ce fonctionnement, jusqu’à maintenant je m’en suis toujours sorti.e, je survis (et je me contente de ça 😬), je suis en équilibre ;

– même si cet « équilibre » n’est pas satisfaisant. Au fond de moi j’ai toujours l’espoir que ça change, que mon parent finira par comprendre ;

– je me dis aussi : vu l’énergie et le temps que j’ai investis dans ma loyauté à l’égard de ce parent (ces dizaines d’années), ma gentillesse, ma volonté de lui faire plaisir, de l’aider, d’être toujours là pour lui/elle, ça va bien finir par toucher son cœur et… il/elle va bien finir par m’aimer comme je le mérite… 🧡👩‍👩‍👦

Un exemple de Zone de confort 🧐 😇

● La zone de confort – aussi étrange que cela puisse paraître – ça peut être : je continue à voir mes parents, à communiquer avec eux. Malgré la boule au ventre, les reproches, les pleurs après une visite, un échange téléphonique… même si parfois je suis dévasté.e par autant d’incompréhension, d’égocentrisme, d’injustice, de méchanceté, de non-amour… 😨😰😤

● Notre cerveau a pourtant fait la balance Bénéfices/Risques. Il nous fait considérer que le changement nous met plus en danger qu’il ne nous fait du bien parce que l’Inconnu est toujours incertain.

● Maintenant, ça vous paraît moins étrange qu’on appelle ça « zone de CONFORT » ?!… Surtout quand vous constatez que le premier espace rencontré pour en sortir, c’est la zone de… PEUR !

Une appellation paradoxale : la Zone de "confort"...
Une appellation paradoxale : la Zone de « confort »…

Les résistances aux changements

● Les changements que vous voulez mettre en place vont forcément faire bouger votre environnement.

● Votre famille, vos amis, vos collègues, bref votre entourage va constater qu’il se passe quelque chose, que vous fonctionnez autrement.

Par exemple, vous qui disiez toujours oui pour faire plaisir, pour dépanner, pour être gentil.le, aujourd’hui il vous arrive de dire non et de « tenir ».

● Pour peu que votre entourage ne comprenne ou n’approuve pas votre décision, il va vous mettre des bâtons dans les roues, volontairement ou pas. Pareil s’il ne trouve pas d’intérêt à votre changement.

Tout changement fait peur !

De manière générale, qu’il soit désiré ou imposé, TOUT CHANGEMENT FAIT PEUR.

Vous vous dites probablement : « Puisque c’est moi qui ai décidé de changer, avec de la volonté, de la ténacité et du courage, je vais y arriver… » Vous entendez des petites voix qui soufflent : « Qui veut peut » ; « il suffit de vouloir »… : qui dit ça ? Vos parents ? Les enseignants ? Votre éducation ? Votre culture ? Une partie de vous…

La puissance des croyances

Comme beaucoup de dictons, proverbes et autres « sagesses populaires », ce sont des CROYANCES. Bien ancrées. Ces croyances contribuent à nous faire culpabiliser lorsque nous n’atteignons pas nos objectifs et alimentent… notre Zone de confort ! retour à la case départ…

🧘‍♂️ Détendez-vous : contrairement à ce que l’on voudrait vous faire croire, ce n’est pas votre « faute » !

Voilà encore une des raisons pour lesquelles il est utile de se faire accompagner : être soutenu.e pour affronter ses peurs ; se mettre en sécurité pour poursuivre son chemin sans stress et ne pas risquer de faire marche arrière.

Les résistances extérieures aux changements

● A ceux qui voudront savoir pourquoi, peut-être que vous allez expliquer votre changement. Vous aurez alors tous les types de réactions : ceux qui vous soutiendront en paroles (les moins nombreux) mais qui seront moins enthousiastes sur la durée ; ceux qui trouveront des failles à votre nouveau paradigme et essaieront de vous convaincre que vous avez tort ; ceux qui paraîtront indifférents…

Le changement : un chemin courageux parsemé d'embûches !
Le changement : un chemin courageux parsemé d’embûches !

● A tous vous allez imposer un changement qu’ils n’auront pas choisi, et qu’il leur faudra accepter à leur tour… vous voyez que votre tâche se complique déjà : réussir à imposer votre changement, c’est travailler sur vous ET avec les autres (qui n’en veulent peut-être pas !).

Que ça plaise ou pas, comme vous voulez avancer, l’important sera de tenir, sur la DUREE.

Et là s’ajoute à la résistance naturelle de l’environnement une autre résistance, bien plus forte encore, dont vous n’avez pas conscience peut-être… LA VÔTRE !

La plus grande résistance aux changements, la résistance interne

Parce que votre cerveau, votre Inconscient, vos neurones vont tout faire pour vous remettre dans ce qui est pour eux le « droit chemin »… retour à la case départ : votre Zone de confort ! 😣

En guise de conclusion : se libérer de parents toxiques, c’est possible en étant accompagné.e !

● Les parents toxiques occupent beaucoup de place dans vos pensées.

● Même si vous avez décidé de rompre (la communication, les relations…) et que vous vous sentiez soulagé.e, vous ressentirez un vide, une absence. Il faudra alors vous entourer de paroles, d’attitudes et de personnes chaleureuses, bienveillantes et positives.

En quelques semaines (3 mois environ), avec une vraie motivation, c’est POSSIBLE de se sentir mieux ! Vous constaterez que votre nouveau « moi » changera aussi vos relations aux autres … ne serait-ce que parce que vous aurez plus de temps à leur consacrer. En effet, pensez à la qualité du temps rendu disponible, toutes ces heures d’énergie négative converties en POSITIF !

● N’attendez pas plus longtemps pour être heureux.se : faites-vous accompagner par une coach professionnelle pour vous libérer de parent(s) toxique(s).

Pour en savoir plus, cliquez ici et prenons rendez-vous !

Accepter de se faire aider : c'est la première étape !
Accepter de se faire aider : c’est la première étape !

Anne Ducastel

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