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De manière générale, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à consulter les thérapeutes ! Pourquoi ?

Auraient-elles plus de problèmes que leurs alter egos masculins ? 😅 Ou sont-elles plus conscientes ?

Et si nous allions voir du côté de leur mère ?

La relation entre fille et mère toxique, voire castratrice, est plus explorée et plus documentée.

Nous allons voir pourquoi et comment.

Plus largement, la relation avec une mère toxique interroge sur un tabou : doit-on absolument aimer sa mère, ses parents ?

Qu’est-ce qu’une personne ou une relation toxique ?

Pour faire court…

Qu’est-ce qu’une personne toxique ?

Une personne toxique se caractérise par plusieurs traits de caractère : négativité, critiques tous azimuts, insatisfaction permanente, reproches, victimisation, égocentrisme, incapacité à se remettre en question et à s’excuser de ses comportements, narcissisme extrême, etc.

Autocentrée, jalouse, envieuse, souvent fière, voire arrogante, persuadée d’avoir toujours raison, jamais coupable de rien, convaincue de son « bon droit » (les autres doivent se plier à sa conception du monde et de son ordre hiérarchique avec, en haut de la pyramide, elle !), elle ne manifeste guère d’empathie sauf pour se faire valoir ou saisir l’opportunité de comparer les malheurs de son interlocuteur avec les siens ; elle parvient souvent à donner d’elle une très bonne impression à l’extérieur du cercle de son emprise.

Ces symptômes s’accentuent souvent avec l’âge ☹.

Qu’est-ce qu’une relation toxique ?

Une relation toxique est un lien interpersonnel dysfonctionnel, qui fait du mal à l’une des deux personnes ou aux deux. Elle n’est pas forcément détectable immédiatement.

C’est l’accumulation et la répétition de certains comportements qui la mettront en lumière.

Cette toxicité est créée par la rencontre entre deux personnes et leur singularité. Chacune active les blessures de l’Autre.

Nous sommes tous amenés à rencontrer des personnes toxiques

Nous rencontrons tous, à certains moments de nos vies, dans notre sphère privée ou professionnelle, des personnes que nous ressentons comme toxiques. Pour ne pas en souffrir, on les tient à distance ou on coupe les ponts. Cependant…

Dans la sphère professionnelle, c’est plus difficile, les systèmes contraignant à la collaboration, voire à l’obéissance.

ATTENTION !

Vous avez tendance à toujours vous trouver en relation avec des personnes que vous jugez toxiques ? Au travail ? Dans vos relations personnelles ?… Cette récurrence doit vous alerter et vous inviter à explorer vos interactions familiales.

L’état des relations professionnelles reflète bien souvent des schémas familiaux. Des solutions existent pour démêler des nœuds tressés depuis l’enfance.

Je peux vous aider à y voir plus clair et à vous libérer de ce poids.

Les relations toxiques les plus douloureuses sont intrafamiliales

Les relations toxiques les plus douloureuses et les plus difficiles à surmonter sont tissées dans la famille, depuis longtemps, depuis toujours, le plus souvent avec les parents, et encore plus avec la mère.

(Je ne parlerai pas ici de la maltraitance physique et sexuelle, qui appelle des réponses pénales.)

Mots qui piquent, « tu » qui tue, reproches constants, c’est le plus souvent dans la famille toxique.

Pourquoi la mère apparaît plus souvent que le père comme figure toxique

La mère, première figure d’attachement (aimer sa mère)

D’un point de vue anthropologique, lien du sang et attachement sont intrinsèquement liés chez les mammifères, a fortiori dans l’espèce humaine. Les premières années de sa vie, le petit Homme est le seul être vivant complètement dépendant de ses parents (ou de leurs substituts).

L’amour maternel n’est pas inné. Mais comment une mère peut-elle ne pas aimer son enfant ? En est-il responsable (c’est en tout cas ce qu’il croit) ?

Les enfants de mère toxique éprouvent le besoin de comprendre. C’est une démarche nécessaire pour se déculpabiliser

Pourquoi ma mère ne m’aime pas

Autres questions similaires :

  • si elle m’aime (comme elle le prétend), pourquoi ne me le montre-t-elle pas ? Ou…
  • pourquoi me le montre-t-elle de cette manière (à l’envers) ?

C’est une vérité insoutenable de constater qu’une mère puisse ne pas aimer son enfant. L’enfant souffrant de ce non-amour cherche des explications.

● La première, celle qu’il garde longtemps en lui jusqu’à ce qu’il comprenne les mécanismes de l’emprise, c’est qu’il serait responsable du mal-être de sa mère.

La mère toxique déploie une grande énergie à le lui rappeler : « Je me suis sacrifiée pour toi. ». « Avec tout ce que j’ai fait pour toi… ». « C’est de ta faute si… ». « Je suis ta mère, tu me dois… c’est à toi de… », etc.

L’enfant de mère toxique culpabilise toute sa vie s’il ne se libère pas de ce schéma.

● L’enfant aime sa mère, elle lui a donné son bien le plus précieux, la vie, c’est la « dette« . Il lui trouve des excuses : elle-même a souffert. Elle ne peut faire autrement, elle répète les comportements dont elle a été victime, etc.

Cependant… on n’est pas coupable de ce que l’on subit (enfant) mais on est responsable de ce que l’on en fait (adulte).

Les enfants de mère toxique préfèrent rester muets, aveugles et sourds pour se protéger.

Les causes possibles du comportement de la mère toxique

Parmi les causes possibles ayant généré des traumatismes et/ou des frustrations chez la mère toxique :

  • Une insécurité, une dépendance affective, une peur de l’abandon
  • Un état anxieux, dépressif ;
  • Une blessure narcissique ;
  • Une absence d’estime de soi, de confiance en soi (contrairement aux apparences) ;
  • Etc.

Des mères-enfants, émotionnellement instables

Dans tous les cas, les mères toxiques, qu’elles soient dominatrices, violentes, intrusives, rivales, défaillantes, abandonniques, etc. souffrent d’une absence de maturité émotionnelle.

Elles sont restées à un stade de développement émotionnel infantile.

Peu importent les raisons des manquements maternels, ce n’est pas à l’enfant de réparer sa mère.

Les conséquences de ces failles (directes ou indirectes) sur le comportement d’une mère toxique

  • L’égocentrisme ;
  • Une hyper-exigence ;
  • La préférence pour un enfant ;
  • Un besoin de contrôle, la toute-puissance pouvant conduire à une volonté d’exclusivité, à la jalousie ;
  • Un sentiment de supériorité pouvant entraîner le mépris ou le rejet ;
  • Une frustration constante, sur de nombreux sujets, à la mesure de désirs insatisfaisables ;
  • Etc.

La mère toxique reproduit avec ses propres enfants les manquements qu’elle a subis, le plus souvent SANS EN AVOIR CONSCIENCE, parce qu’elle ne connaît pas d’autre fonctionnement.

Elle ne sait pas faire autrement.

La manipulation de l’enfant par la mère toxique

L’enfant non plus n’a pas d’autres modèles : soumis à sa mère, il est complètement dépendant et malléable.

Alors il adopte la personnalité qui lui est prêtée et nourrit le narcissisme maternel – il fait tout son possible pour être – enfin ! – aimé.

Cette quête d’amour peut prendre toute une vie sans jamais être satisfaite, tant que l’enfant n’a pas conscientisé le formatage dont il est victime.

● La toxicité s’exerce sur tous les enfants, fille et garçon. Mais elle prend des formes différentes selon que l’on est fille ou fils de mère toxique.

Qu’est-ce qu’une mère toxique castratrice ?

On entend parfois parler de « mère castratrice », qu’est-ce que c’est précisément ?

Qu’est-ce que le complexe de castration ?

Selon le Père de la psychanalyse, Sigmund Freud, les hommes auraient inconsciemment peur de la perte de leur phallus (instrument de puissance) et les femmes souffriraient d’une absence de pénis.

La menace de castration pèse donc plus chez les hommes que chez les femmes.

La mère, première femme de la vie d’un homme (aimer sa mère)

● La mère castratrice veut contrôler, dominer… Avec ses enfants, c’est facile. Ils lui sont soumis dès la naissance. Elle peut les façonner, les formater, les rendre hyper-dépendants d’elle afin de conserver le contrôle sur eux.

● A l’adolescence, étape déterminante de sa construction psychique, l’enfant s’oppose, se révolte, pose ses limites, dit non… la mère toxique redouble d’efforts pour étouffer ces velléités. Pour maintenir son contrôle, elle manie menaces et chantage affectif, se montre ingérente, sûre de son bon droit sous la bannière « c’est pour ton bien ! ».

● Des spécialistes le confirment : « Face à un enfant qui se rebelle, la mère peut comprendre que ce comportement est en réalité une quête pour son affection. Si la mère n’arrive pas à lire la détresse de son enfant, elle devient de plus en plus dure et plus toxique.

L’adolescence est une période forte durant laquelle l’enfant peut ressentir un malaise dans sa relation avec sa mère  La psychanalyste constate : « L’adolescent le ressent quand il a du mal à rentrer à la maison, quand il préfère passer du temps chez la famille de ses amis ou qu’il s’enferme dans une relation amoureuse pour créer une parenthèse qui fait du bien. »

(Anne Laure Buffet, thérapeute et auteure du livre Les mères qui blessent, éditions Eyrolles, et Brigitte Allain-Dupré, psychanalyste et auteure du livre Guérir de sa mère, éditions Eyrolles).

Mère toxique et fils soumis, besoin d’un père « séparateur »

Où est le père ?

Un père absent

● Ce type de mère (la mère castratrice) ne peut exister qu’en l’absence de figure paternelle forte. Or c’est précisément d’un père exerçant une autorité dont le petit garçon aurait besoin : une figure masculine à laquelle s’identifier.

● Dans les familles à mère castratrice, le père est absent, au sens physique ou symbolique. Il ne prend pas sa place dans la famille et n’exerce pas l’autorité psychologique nécessaire à la différenciation pour la petite fille, et à l’identification pour le petit garçon. D’autant que les mères castratrices se révèlent également souvent des femmes castratrices : elles ne laissent pas de place à leur compagnon. Elles occupent toute la place.

Le père doit prendre sa place, il est autant responsable de la relation avec les enfants que la mère toxique.

Une figure maternelle renforcée (aimer sa mère)

La mère castratrice se voit donc dotée d’une double place : la sienne + celle du père, elle se sent d’autant plus forte.

Père absent, mère toxique : la double peine !

● Attention toutefois à ne pas tomber dans ce poncif : « les mères on les accuse, les pères on les excuse » ! Les pères, par leur absence, sont responsables à 50 % de la toxicité des mères.

● Mais comme ils sont moins présents dans la sphère psy (ils consultent moins, se posent moins de questions, ont tendance à s’en remettre à leur femme…), ils font moins parler d’eux au point que les seules mères sont effectivement accusées… Et les pères apparaissent aussi, aux yeux de leurs enfants, comme des victimes (toutefois consentantes) de ces femmes abusives.

Inconsciemment, le garçon tend à reproduire ce modèle sentimental

● Le garçon devenu adulte a grandi avec cette représentation du couple et du père. Inconsciemment il va chercher les mêmes profils dans ses figures d’attachement sentimentales. Il va rencontrer des femmes contrôlantes, voire également castratrices, et se mettre en couple avec elles.

Victime d’une mère toxique, puis d’une compagne au même profil…

● D’une relation toxique avec sa mère, le jeune homme passe à une relation amoureuse toxique. Il se met en ménage avec une compagne qui lui adresse des reproches, veut le contrôler, et il se laisse commander… toujours dans le but de plaire, tentant de gagner ce précieux amour que sa mère n’a pas su lui prodiguer correctement.

● Soit pour se prouver qu’il est capable d’autonomie, soit pour se venger, le garçon peut devenir infidèle, violent, addict, voire impuissant…

● Car toujours il souffre, incapable de s’épanouir, en quête d’un amour impossible.

Tant qu’il n’a pas réalisé la cause de son état et entamé un travail de réparation (en thérapie, par exemple), il continuera à enchaîner les histoires amoureuses sous dépendance.

● Pour les filles, c’est une autre histoire…

Pourquoi les mères exercent plus d’emprise sur leur fille

Une phase de construction psychologique complexe pour la fille : la différenciation

Parmi les phases de construction psychique de l’enfant, l’imitation joue un grand rôle, et aussi la séparation.

● Pour se créer une identité, un moi propre, il faut se différencier. Biologiquement, c’est plus facile pour les petits garçons : leur maman n’a pas de pénis ! Ils n’ont pas à l’imiter.

Celui que les petits garçons élevés par une mère toxique voudraient ou devraient vouloir imiter (le père) est absent et, bien souvent, critiqué par la mère. Comme « par défaut », le garçon pourra se frayer sa place plus facilement que la petite fille. Pourquoi ?

● Dans sa construction psychique, la fille devra surmonter une difficulté supplémentaire : se différencier de sa mère.

De son côté, la mère doit accepter que sa fille – qu’elle voit toujours comme sa « petite » fille – grandisse sans lui ressembler.

Relation mère-fille : aimer sa mère toxique non plus comme une petite fille mais comme une adulte.

Quand ma fille devient femme : l’impossible acceptation par la mère toxique

Pour les mères toxiques, narcissiques, voilà un défi impossible à relever puisque, au contraire, elles voient leur fille comme un prolongement d’elles-mêmes.

Avec leur(s) fille(s)-objet(s), elles veulent accomplir leur dessein par procuration. Ce qu’elles-mêmes n’ont pas su/pu faire, leur fille le fera à leur place, SOUS LEUR CONTROLE.

Alors elles vont donner leur avis sur tous les aspects de la vie de leur fille et tenter de la manipuler. Les mères toxiques iront même jusqu’à pouvoir ressentir de la rivalité ; elles pourront être jalouses de leur fille.

Les moments-clés de la manifestation de cette toxicité

Les grandes étapes vers l’autonomie seront particulièrement dures à vivre pour la mère comme pour la fille. Ce sont les moments où la fille monte une marche supplémentaire dans la différenciation avec sa mère, où elle se sépare de sa génitrice physiquement, sentimentalement et symboliquement.

Première crise : l’adolescence

A l’adolescence, la jeune fille a des secrets, sa mère n’est plus sa meilleure amie, sa confidente. Elle est même ressentie comme adversaire, hostile… la mère commence à perdre de son pouvoir.

Le syndrome du nid vide

Pendant une vingtaine d’années, la mère a rempli son existence de la présence à son enfant. Elle a pu surinvestir cette relation, en faire une raison d’exister. Lorsque la jeune femme part de la maison, sa mère doit affronter le vide… de la chambre, de la présence, de la complicité, quelquefois le vide de sa propre existence. La mère toxique continuera à tenter de contrôler la vie de sa fille en étant trop présente, en lui posant 1000 questions, en lui donnant son avis sur tout, etc.

La « trahison »

Arrive le moment où la grande fille se met en couple : ELLE EN AIME UN AUTRE, qui prend la place du premier amour qu’était sa maman. Bien que la mère s’en défende, elle peut éprouver de la jalousie envers sa fille. Celle-ci est devenue la femme séduisante et désirable que sa mère n’est peut-être plus… c’est insupportable pour la mère toxique, à qui il ne restait plus que sa fille sur qui exercer un pouvoir.

Ma fille en aime un.e autre 🙄😣

Le coup de grâce : la relégation dans le dernier âge de la vie

Miroir, joli miroir, gentil miroir, dis-moi qui est la plus belle…

Quand la fille devient mère à son tour, malgré la joie qu’offre le bébé, la mère devient grand-mère, parfois dans la souffrance – souvent inconsciente :

  • sa place de maman lui est « volée » : la (grand)-mère n’est plus la seule à se prévaloir de la fonction maternelle exclusive ; elle n’a plus de suprématie à faire valoir ; sa fille a acquis le même statut qu’elle, celui de mère…
  • sa fille en aime encore un autre (le bébé) ; et elle l’aime plus que sa mère ;
  • la (grand)-mère est projetée dans un autre âge, le troisième, le dernier, celui de la vieillesse, où des portes se sont définitivement refermées – notamment celle de la fonction reproductrice, associée à la séduction, la féminité.

Comment se libérer de cette relation toxique

Pour se libérer de toute relation toxique, plusieurs étapes :

  • Prendre conscience de la situation.
  • Accepter : l’Autre ne changera pas. Quand il s’agit d’un parent, faire le deuil du parent idéal – comme lui-même aurait dû faire celui de l’enfant idéal (mais ça ne doit pas être votre problème).
  • Travailler sur son développement personnel de manière à :
    • agir en conscience (et plus sous emprise), ajuster sa communication jusqu’à la maîtriser avec le parent toxique (on n’est pas obligé.e de répondre aux messages, ni d’accepter ce qui nous est demandé). Qui maîtrise la communication maîtrise la relation.
    • NE PLUS CULPABILISER.
  • Accepter de se faire accompagner pour franchir toutes les étapes pas à pas et ne plus se sentir seul.e.

Comment accepter l’inacceptable

Tout ce travail d’acceptation peut paraître simple en le disant, en se le répétant : « oui, oui, j’accepte, oui, je sais que je ne la/le changerai pas »)… Se mettre en colère, vouloir « faire comprendre » à tout prix, expliquer, re-expliquer, justifier, serrer les dents, avoir encore la boule au ventre sont autant de signes que, malgré l’incantation « oui, je sais, j’accepte, quoi que je fasse ça ne sera jamais assez bien »… il n’en est rien !

L’acceptation est un travail de longue haleine, pour lequel il peut être très bénéfique de se faire accompagner.

Astuces pour parvenir à l’acceptation

● D’une personne paraplégique, vous n’attendez pas qu’elle monte les escaliers !

Le rapport avec une mère toxique ?

Vous avez compris que votre parent est incapable d’empathie, égocentrique, parfois (souvent) méchant, injuste, etc.
donc émotionnellement déficient.

● D’une personne émotionnellement déficiente, on n’attend pas qu’elle manifeste des sentiments et des comportements adaptés parce qu’elle en est incapable – comme la personne paraplégique ne peut pas marcher, elle ne
peut pas se montrer « sympathique ».

● La prochaine fois que vous aurez à faire à ce parent déficient, regardez-le sous cet angle. Ce point de vue vous aidera probablement à mieux accepter la réalité : il/elle ré-agit avec des fonctions émotionnelles limitées. Vous n’y pouvez rien !

En guise de conclusion…

Parmi les personnes et les relations toxiques, les parents toxiques occupent une place à part parce qu’ils sont incontournables dans notre vie. Sans eux nous ne serions pas là et nous n’en serions pas là !

Place encore plus à part dans la toxicité parentale, celle qu’occupe la mère toxique.

Si le lien biologique qui nous unit à elle est indestructible, il en va autrement du lien affectif.

Une mère qui nous martèle ses reproches, qui ne cesse de se plaindre, de critiquer, d’humilier, de tenter de manipuler… est une mère toxique.

A cela des causes anthropologiques, physiologiques et psychologiques.

En aucun cas ça n’est aux enfants de réparer : ils doivent commencer par se réparer eux-mêmes.

Les psys et les coaches le constatent : les filles de mères toxiques souffrent plus que les fils. En tout cas elles en parlent, tant mieux !

Pour vous libérer de ce fardeau, n’attendez pas que votre trop-plein d’émotions négatives et de souffrance explose : venez en parler !